dimanche 22 février 2015

Bien-être: Alexandra David-Néel

Le parcours de la célèbre exploratrice commenté par sa secrétaire et amie, Marie Madeleine Peyronnet, sa biographe et par Priscilla Telmon qui a marché dans ses pas jusque Lhassa. Une belle évocation avec des extraits d'interviews d'Alexandra elle-même.

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Récit émouvant, bouleversant.
Le plus frappant:
-sa ténacité: elle étudie sans arrêt, elle fréquente les monastères bouddhistes, elle vit en ermite...
-sa vision de la vie: la route est captivante, dit-elle, si l´on ignore où elle mène.
-son féminisme: elle ouvre des voies qui étaient interdites aux femmes au début du vingtième siècle.
-son courage: elle ose dire aux quatre vents: suivez votre chemin...
-sa prouesse: elle est la première occidentale à entrer dans Lhassa. Elle est un pont entre l´Orient et l´Occident
Et par dessus-tout: SA FORCE INTÉRIEURE
Maria

Anonyme a dit…

Alexandra David-Néel a été écrivaine et orientaliste. Née par une mère puritaine et un père austère, elle a été féministe et anarchiste.
Après d'avoir étudier Théosophie en Angleterre et spiritualité oriental au Sorbonne, elle commence son primer voyage pour les monastères bouddhistes.
Retournée, elle décide de se mariée avec l'ingénieur Philippe Neel, cependant elle part à nouveau à l'Inde. Le voyage, qui devait durer quelques semaines, durera 14 ans. Pendant ce temps, Alexandra sera la primer femme à obtenir une interview avec le Dalai Lama et la première femme d'origine européenne à séjourner à Lhassa au Tibet. De plus, elle vivra à 4000 mètres dans une caverne et elle adoptera à un jeun tibétaine de 14 ans, qui deviendra son partenaire de voyages. Finalement, on peut affirmer que Alexandra à travers de ces livres a été le pont entre les disciplines orientales et l'occident. Actuellement sa maison à Digne est un musée.
Alessandro

Anonyme a dit…

Je suis tout à fait d’accord avec Maria. C’était une femme hors de commun avec un parcours étonnante. Ce que j’aime le plus chez elle, c’est sa combativité, sa détermination à ne pas abandonner son but malgré les obstacles. Quant à son féminisme, c’était surprenante à cette époque –là : pour elle, ce qu’un homme pouvait faire, une femme pouvait aussi le faire.

Anonyme a dit…

J'ai oublié mon prenom. C'est Sonsoles

Anonyme a dit…

Oui, un bel exemple de courage et d'amour pour la liberté. J'ai aimé aussi sa devise Marche comme ton coeur te mène, et selon le regard de tes yeux.
Et sa vocation d'orientaliste de terrain, à la fin du XIXème à 23 ans s'embarquer pour l'Inde, fallait le faire!